Le dénuement de nombreuses populations africaines semble avoir inspiré bien de vocations caritatives qui, oeuvrant pour la réduction des inégalités sociales ont depuis peu requis une envergure jusque là inédite, venant d’une personnalité civile plutôt effacée. C’est pourtant la prouesse que réussit depuis dix ans déjà, Dominique Ouattara qui s’est jurée d’offrir «un autre avenir pour les enfants d’Afrique».
La vulnérabilité des enfants ne fait point l’ombre d’un doute, aussi peut-on comprendre qu’ils soient les premières victimes des dysfonctionnements socioéconomiques observés dans plusieurs pays africains. Constat que nous ne sommes pas seuls à avoir fait, ce d’autant plus qu’il aura fondé la mobilisation de dame Dominique Ouattara qui s’en inspira pour créer la Fondation Children of Africa en 1998. Bien évidemment, ivoirienne de souche, cette initiative plutôt bienvenue prit ses bases dans ce pays avant de s’étendre à d’autres pays africains qui depuis lors, bénéficient d’actions significatives dans l’encadrement des «enfants de la rue» aux plans éducatif et sanitaire notamment. Et cela, on peut le comprendre aisément s’il l’on s’en tient aux objectifs poursuivis par cette fondation : permettre la réinsertion sociale de ces véritables laissés pour compte. C’est pourtant sans moyens financiers colossaux que ce projet fut mis en branle, comptant exclusivement sur un réseau étendu de donateurs, se recrutant de par le monde et dans tous les secteurs socioprofessionnels. Pour ce faire, on n’a pas hésité de commettre un message fort significatif « Ouvrez votre cœur à l’Afrique et ne nous oubliez pas», émanant de la bouche même d’une petite fille souriante. Un sourire qui se veut bien évidemment enrôleur, tant il est vrai que les actions à mettre en œuvre exigent davantage de financements.
A ce titre, la Fondation Children of Africa si elle peut effectivement compter sur son réseau de donateurs, n’hésite pas d’organiser de véritables appels publics de fonds au travers de galas qui lui permettent de travailler efficacement avec de nombreux centres d’accueil disséminés sur le continent et singulièrement : le centre Arc-en-ciel de Libreville au Gabon, la Voix du Cœur à Bangui en RCA, le centre de santé infantile Sainte Famille de Yamoussoukro, la Case des Enfants à Abidjan, la Maison de l’Enfance et Notre Dame des sources à Bouaké en Côte d’Ivoire, la Voie Lactée au Cameroun et l’association Kisito à Ouagadougou au Burkina Faso. Des structures qui matérialisent cette solidarité africaine d’un genre particulier. Toutefois, les actions de la Fondation Children of Africa ne se sont pas limitées à ces structures, ce d’autant plus que d’autres en ont bénéficié, notamment du matériel didactique pour l’association Soundjata du Mali qui a reçu des ordinateurs. Bien évidemment, l’activité de la Fondation Children of Africa lui impose de nombreux périples dans le continent qui, pour offrir des livres et autres kits scolaires au Cameroun, Mali, RCA et Côte d’Ivoire ou encore pour soutenir des campagnes de vaccination dans les zones rurales. En somme, cette fondation se veut un acteur majeur dans la suppléance des états en matière éducative et sanitaire, un ciblage qui en dit long sur l’importance qu’elle accorde à la vie des enfants, qui constituent à juste titre le meilleur investissement pour un avenir meilleur de l’ensemble du continent.
Bénévolat et mieux-être pour les enfants africains
Ainsi peut se résumer l’action menée jusqu’ici par la fondation Children of Africa. Mais cela démontre une fois de plus que son initiatrice a bien perçu la problématique de la pauvreté sur le continent et qui impose aux populations la recherche de ressources pour leur survie et rien de plus. En effet, sans ressources régulières et suffisantes, les besoins primaires se réduisent très souvent à la nutrition et ce, s’il y en a, les deux autres besoins essentiels que sont l’éducation et la santé étant relégués au second plan. Aussi peut-on penser que la fondation sans avoir la prétention de combler les déficits dans ces domaines, œuvre fort heureusement à en diluer les effets pervers. Et c’est tout naturellement que son bénévolat a été récompensé en fin mai dernier par le prix ICS. Une reconnaissance qui induit pour elle des défis supplémentaires, car de nombreux enfants africains continuent de souffrir d’absence d’encadrement dans les domaines de prédilection de ladite fondation. Et c’est en cela que le bénévolat caractéristique des membres de la fondation prend toute sa dimension, car on ne saurait parler d’assistance assortie de rémunération des prestations offertes en faveur de personnes démunies et souvent sans repère social aucun, comme dans le cas des enfants de la rue à qui la fondation offre également un foyer d’accueil. Mieux encore, la réalisation de toutes ces actions étant tributaire des dons reçus par cette fondation, on peut valablement lui tirer le chapeau, même si elle attend davantage de contributions financières pour réaliser son projet le plus ambitieux : la construction d’un centre hospitalier en faveur des populations démunies.
Ibrahim Diarra
3cronies
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