En prenant à bras le corps la problématique des pénuries récurrentes d’eau potable, le nouvel exécutif de la Camwater apporte progressivement une réponse probante aux préoccupations de ses consommateurs.
Jean Williams Sollo a fait de l’investissement productif, son véritable cheval de bataille. Car, outre l’amélioration de l’offre globale en eau potable, il s’agit par ailleurs d’étendre au mieux le taux de couverture au plan national. En effet, se taux se situant pour l’heure autour de 25%, on comprend aisément que cette réalité constitue une préoccupation aussi bien pour la Camwater que pour le gouvernement qui a souscrit aux préceptes commandant l’atteinte des objectifs pour le millénaire. Et si pour ce faire, els métropoles urbaines constituent la vitrine par excellence d’évaluation des différentes déclinaisons opérationnelles desdits objectifs du millénaire, on comprend aisément pourquoi à la Camwater, on a fait de l’approvisionnement en eau potable desdites métropoles, l’une des priorités à implémenter.
Ainsi, la ville de Douala devra à brève échéance voir le déficit de l’offre globale en eau potable estimée à 100 000 m3/j s’estomper à la faveur de la mise en œuvre du nouveau plan de développement élaboré fort à propos par la Camwater. En somme, il s’agit de porter la production à 250 000 m3/j, pour non seulement combler le déficit mais aussi et surtout, s’arrimer aux mutations sociodémographiques de la capitale économique du Cameroun.
Et c’est en cela que le plan de développement de l’approvisionnement en eau de ladite ville présenté récemment à l’Hôtel Sawa de Douala ait été élaboré en fonction des plans d’aménagement de la ville en termes d’occupation des sols, d’urbanisation et même de projection de celles-ci à l’horizon 2025. Si le mérite revient au premier chef à la Camwater, elle sait cependant compter sur un partenariat opérationnel et plutôt bénéfique impliquant dans la mise en œuvre des déclinaisons opérationnelles y afférentes, de la Communauté urbaine de Douala et des mairies d’arrondissements, mais également de l’Agence pour le Développement de Douala (A2d).
Des partenaires majeurs impliqués dans la mise en œuvre de cet important projet pour non seulement en assurer davantage l’adhésion des populations mais également réfréner les désagréments y afférents. Ce d’autant plus que ledit projet est adossé à l’extension conséquente du réseau de distribution, lui-même articulé sur la mise en œuvre d’investissements nouveaux qui auront nécessité la mobilisation de la somme de F Cfa 52 milliards. L’affectation de celle-ci permettra ainsi à la Camwater de boucler la réalisation de la phase 2 de Yato, en réalisant l’interconnexion de cette usine de production au réseau de distribution antérieur. Aussi peut-on comprendre, la pléiade des travaux de canalisation engagés à Douala depuis peu.
Diversification partenariale
Quand bien même la mobilisation des financements de bon nombre d’investissements réalisés par la Camwater émane du principal bailleur de fonds qu’est Exim Bank of China, la Camwater n’a pas hésité de lui adjoindre d’autres partenaires. Ainsi en est-il notamment de l’Agence Française de Développement (AFD) et la Banque Européenne d’Investissement (BEI), qui ont mobilisé pas moins de F Cfa 66 milliards, devant être affectés à Yaoundé et les villes secondaires d’Edéa, de Bertoua et Ngaoundéré. A côte de ces gros bailleurs de fonds pourrait-on les qualifier, il en existe d’autres moins disant certes en termes de facilités financières accordées à la Camwater, mais intégrant parfaitement la nouvelle vision de celle-ci.
Dans ce registre singulier, on pourrait mentionner l’IDA (Association Internationale pour le Développement) qui s’est littéralement approprié le Projet de Développement des secteurs urbain et de l’approvisionnement en eau (Pdue), financé par à hauteur de 14, 7 milliards de F Cfa pour un crédit initial et 2,3 milliards de F Cfa par le GPOBA (Global Partnership for Output Based Aid). Des partenaires multiformes qui ont de fait adhéré à la vision globale que sont les Grandes Réalisations et se déclinant pour le secteur de l’eau, en l’impératif d’améliorer quantitativement et qualitativement de l’approvisionnement en eau potable pour les populations camerounaises.
Dans la foulée, on comprend que cet objectif induise également l’amélioration du taux de desserte pour le porter au-delà de 25% actuel. Et dans cette optique, on comprend que la Camwater se soit également rapprochée de la Banque Africaine de Développement avec laquelle elle a pu mobiliser la rondelette somme de F Cfa 22 Milliards pour assurer les différentes études préalables, mais également la mise en œuvre effective des différents chantiers devant assurer aux villes telles Akono, Bafang, Bana, Bafia, Foumban, Kousseri, Kumba, Loum, Manfé, Manjo, Mbanga, Nkongsamba, Bangou, Bansoa, Penka-Michel et Ngoumou, un approvisionnement conséquent en eau potable.
Autant dire donc, que l’heure est résolument à l’accélération des chantiers à même de diluer significativement le déficit actuel, non sans que cela débouche par ailleurs sur une extension du réseau, elle-même adossée sur la diversification partenariale. Une option qui, à en croire les consommateurs, constitue le fondement à venir, de leur plus grande satisfaction en ce qui concerne l’accès à l’eau potable. Et quand bien même la mise en œuvre des différents chantiers y afférents participe d’un plan d’investissement hiérarchisé en termes de priorités à implémenter, ces consommateurs savent pouvoir par ailleurs compter sur les palliatifs devant alléger les désagréments qu’ils sont susceptibles de subir, durant le délai de latence.
Déclinaisons opérationnelles
Fort de ce qui précède, il est clair qu’à la Camwater l’on s’entoure de garanties à même de taire les récriminations des consommateurs. Et dans cette optique, on comprend aisément pourquoi la Camwater ne se limite pas seulement à la mise en œuvre de chantiers nouveaux à tous points de vue. En effet, l’autre volet d’affectation du foisonnement de financements et la restauration de nombreuses stations de production et de traitement d’eau.
Dans cette optique, la station de Masoumbou à la périphérie de Douala devra assurer 50 000 m3/j pour permettre à ladite ville atteindre une offre quotidienne de 250 000 m3/j à l’horizon 2014. De même, la construction de forages dans certains quartiers de la même ville est certes un appoint à l’offre actuelle en eau potable, mais constitue une réponse ponctuelle aux problèmes d’approvisionnement en eau potable à Douala et ses environs. Une démarche qui est sensiblement la même pour Yaoundé où la station de la Méfou connaît également une réhabilitation, non sans que celle d’Akomnyada, se comporte quasiment comme ce qu’est Yato pour la ville de Douala.
En somme, on veut plus que jamais faire de la maxime «l’eau, c’est la vie», une réalité indubitable au Cameroun. Car, au-delà des restrictions qui pourraient quelque compromettre la mise en œuvre réussie des différentes déclinaisons opérationnelles envisagées par la Camwater, il ne fait point de doute qu’elle est sur la bonne lancée. Et c’est du reste à ce titre qu’on comprend que cette entreprise en soit à exiger de l’Etat des rallonges budgétaires.
Au demeurant, l’importance des chantiers en cours et participant de l’atteinte des objectifs nouveaux assignés à la Camwater, engendre quelques désagréments notamment la dégradation de certaines infrastructures de communication. Aussi peut-on comprendre que la Camwater ait engagé fort à propos, un partenariat social avec les populations au travers notamment de l’Agence pour le Développement de Douala (A2d).
Car, il s’agit par ailleurs d’amener les populations bénéficiaires des différents chantiers en cours à concéder à la Camwater des circonstances atténuantes pour les désagréments qu’elle leur fait subir. Aussi peut-on comprendre que dans cette optique, Jean Williams Sollo se soit voulu pragmatique, en mettant cela sur le compte des sacrifices à consentir quand on espère le meilleur. Car à l’évidence, le meilleur est à venir en ce qui concerne l’approvisionnement en eau potable pour les populations camerounaises.
Toutes choses qui, si elles augurent par ailleurs des lendemains enchanteurs dans le secteur de l’eau, induisent également, une appropriation par les populations, de la nécessité de sauvegarder les infrastructures publiques, afin de se donner plus de chances pour la satisfaction conséquente de leurs aspirations légitimes.
Onana françois.
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