La principale responsable en charge du marketing des hôtels Mangalis dont le NOOM Hotel de Niamey parle des atouts, de la vision et des ambitions de cet établissement hôtelier haut de gamme, filiale de Teyliom Group, qui donne fière allure à la capitale du Niger au cours de cet entretien.
Le sommet de l’Union africaine vient de s’achever et le NOOM Hotel a hébergé pas mal de participants. Au terme de ce sommet et au moment où vos clients ont libéré l’hôtel, quel est le sentiment qui vous anime ?
Pour nous, ça été une semaine assez spéciale sur plusieurs enseignes, sur plusieurs plateformes. Le Noom Hotel Niamey qui offre 141 chambres et suites, un restaurant, deux bars, des espaces loisirs, de multiples salles de conférence, a ouvert le 26 juin 2019 et à partir du 27 juin, on a commencé à accueillir nos premiers clients qui venaient participer au sommet de l’Union africaine (UA).
Ce n’est pas toujours que l’ouverture d’un hôtel coïncide avec un tel événement et surtout avec une demande aussi accrue. Donc, c’est beaucoup d’émotions à la fois, des émotions positives, de l’adrénaline : on se dit que l’on aurait souhaité plus de temps pour le lancement, donner aux équipes plus de temps pour s’habituer l’accueil, la gestion de la clientèle surtout que nous opérons dans une région où l’expertise en la matière reste limitée.
Comme tous les hôtels de standing de Niamey, le gouvernement Nigérien avait réquisitionné le Noom dans sa quasi entièreté pour garantir que les différents participants au sommet aient la priorité sur les inventaires.
D’un autre côté, en tant qu’hôtelier, on ne peut espérer mieux que de voir son hôtel complet dès son lancement.
Cela dit, nous avons su relever le défi avec le Niger, par ce que ce n’était pas qu’un défi hôtelier, mais aussi une vitrine pour le Niger de pouvoir accueillir le sommet et tous ces participants dans des conditions optimales.
Vous pouvez faire tous les meetings que vous voulez avec tous les chefs d’Etat que vous voulez, mais s’ils ne dorment pas bien, s’ils ne mangent pas bien, s’ils ne se sentent pas en sécurité, ça devient compliqué. Il était donc de notre devoir en tant que groupe hôtelier d’origine africaine, de relever ce défi avec eux. Les échos sont plutôt positifs, ce qui me donne totale satisfaction dans mon rôle de responsable groupe marketing et ventes.
Le sommet était un premier teste, pas des moindres bien sûre, nous en sommes conscient que le standard doit non seulement être maintenu mais surpassé.
On entend plutôt des échos plutôt positifs et du coup, moi je suis satisfaite dans mon rôle de chef du service marketing pour le groupe. Je suis très satisfaite donc, mais ça ne fait que commencer, il y a encore du boulot.
NOOM Hotel hôtel à Niamey. Dites concrètement quelle est votre vision quand vous vous installez dans la capitale du Niger ?
La vision derrière Mangalis Hotel Group, qui est la filiale hotellière de Teyliom Group, une compagnie multisectorielle panafricaine dont les sièges sont à Dakar et à Abidjan se traduit par la volonté de mettre l’Afrique et surtout l’Afrique de l’Ouest dans un premier temps sur la carte mondiale en terme de standard de service et d’innovation dans le domaine de l’offre hotellière.
L’Afrique à la même enseigne que le reste du monde se doit d’avoir ses chaînes hôtelières, son offre hôtelière pour accueillir des voyageurs qui sont de plus en plus nombreux à la sillonner, à y investir.
Des compagnies comme Azalaï présent depuis plus de deux décennies font un boulot remarquable,
Le continent est grand, c’est le continent de demain. L’Afrique de l’Ouest reste encore une destination inconnue et chère en matière d’hébergement… L’Afrique du nord qui est quelque peu différente de l’Afrique de l’est et du sud sont un peu plus avancées Venir à Abidjan ou à Dakar, ce n’est pas donné, donc une diversité de l’offre est nécessaire pour la satisfaction de tous.
Si je dois faire un arrêt sur Niamey, comme je vous le disais tout à l’heure, à Niamey, il y avait une offre relativement minime avec des dates où ils devenaient impossibles de trouver des chambres. L’arrivée de nouveaux opérateurs donne donc à une telle ville, plus de crédibilité pour promouvoir sa destination et attitrer plus de flux.
Notre vision est donc est de renouveler l’hôtellerie en Afrique, de la redynamiser, de changer le statut quo dans le design, le service et d’être reconnu sur le plan local & global .
En complément de l’enseigne Noom qui est notre haut de gamme, nous opérons aussi les maques SEEN Hotels qui est le milieu de gamme et YAAS Hotels qui est notre marque économie lifestyle ou encore notre entrée de gamme. Ce qui veut dire qu’aujourd’hui, notre clientèle a le choix. Un choix adapté a son portefeuille. C’est aussi ça que nous voulons apporter en Afrique.
Quelle est l’ambition du groupe Mangalis en Afrique ?
L’ambition de Mangalis c’est de grandir, s’implanter dans un maximum de capitales et villes secondaires de la région et faire de ce groupe d’origine Africaine, un groupe international. Nous sommes actuellement dans quatre villes. Le premier hôtel a ouvert à Conakry, en fin 2016.
Nous sommes à Dakar avec l’enseigne de Yaas, nous sommes à Abidjan avec le SEEN et bien sûr Niamey avec le Noom. Nous allons ouvrir très bientôt à Abidjan notre flagship, le Noom Hotel Abidjan Plateau, qui de son par son architecture ultra design et modern sera une signature dans le « Skyline » Abidjanais.
Le Noom Abidjan ouvrira ses portes d’ici le 1er trimestre 2020. Nous sommes actuellement en développement à Cotonou, Pointe Noire, Dakar ainsi que son nouveau pôle d’affaire Diamniadio. En somme, nous avons une dizaine de projets en cours en Afrique de l’Ouest et centrale.
Vous rencontrez très certainement sur le terrain d’autres structures hôtelières. Quelle est l’offre de plus que vous apportez sur le marché de l’hôtellerie en Afrique ?
Comme je disais juste auparavant, nous apportons une diversité dans l’offre actuelle. Nous sommes pour le moment le seul Operateur West Africain offrant du haut de Gamme à l’économie. On a une identité africaine, on a une identité occidentale. On a le des jeunes qui veulent y arriver.
On a une vision qui n’est pas limitée ni dans le temps ni dans l’espace. Nous croyons en cette Afrique nouvelle, cette Afrique dynamique, cette Afrique afro chique et on veut relever le défi du nouveau siècle en tant que continent de l’avenir.
NOOM hôtel en Afrique. Est-ce que vous avez des partenariats avec les structures de tourisme qui vous fournissent les clients ?
Absolument.
Oui, on collabore avec différents prestataires en tant qu’hôtels d’affaires essentiellement même si nos offres répondent aux exigences des voyageurs de loisirs. Nous collaborons avec des structures privées et étatiques telles que les offices de tourisme pour répondre à leurs besoins en termes de volume d’hébergement ou promouvoir la destination,
Et qui dit hôtel d’affaires dit travailler avec des partenaires comme des sites de réservation avec lesquels on travaille, on a des partenariats avec des compagnies aériennes telles Air Côte d’Ivoire qui est une compagnie aérienne très dynamique dans la région.
Nous travaillons aussi avec des agences de voyages localement et à l’internationale. Nous allons ou sommes présents dans différents salons liés au tourisme d’Affaires pour la promotion des marques Mangalis
Parlons à présent de la main d’œuvre. Quelles sont les difficultés que vous rencontrez souvent sur le terrain quand vous avez fini de construire les bâtiments ?
Notre architecture innovante, c’est vrai. On s’appuie sur le savoir-faire des cabinets de grands renoms pour développer de nouvelles idées. Sur l’enseigne Noom, nous sommes accompagnés par le grand cabinet architecture sud-africain Saota et GCA pour la partie design. Mais il faut le dire, aujourd’hui, le challenge lié à la formation pour délivrer le service reste une réalité à laquelle nous sommes confrontés sur le continent.
Le tourisme doit faire partie de l’agenda politique avec des établissements de formation qui délivrent un curriculum qui rendent les professionnels compétitifs, avec une expertise á l’air du temps.
Dans des pays comme la Côte d’Ivoire et le Sénégal qui sont déjà assez en avance, il y a encore un manque de structures de formation adaptées à l’ère moderne. On passe beaucoup de temps à développer des bases qui auraient pu être acquises lors des formations…
Nous sommes conscient que nous avons un rôle á jouer de notre côté puisqu’il y a une identité, une marque avec des valeurs qui doivent être transmises aux collaborateurs et qui a leurs tours les transmettront à nos clients. Ensemble donc avec les états, nous devrions pourvoir mettre tout en œuvre pour élever le niveau de professionnalisme dans le secteur. Ceci
Pourquoi ne pas envisager de créer un centre de formation pour l’esprit d’entreprise chez Mangalis ?
J’ai parlé de notre ambition d’avoir des hôtels un peu partout. Mais qui dit hôtels partout, qui dit une compagnie qui grandit, avec le temps, il y a forcément cet élément-là qu’il faudra considérer. Actuellement, dans notre politique ressources humaines, nous délivrons des formations qui sont assurées par le bureau principal, notre Head Quarter mais aussi par nos experts au sein des hôtels. On a des compagnies formation externes sur lesquelles on s’appuie pour pouvoir aussi développer le personnel.
Dans l’idéal des mondes, je vous dirai, oui, créons un centre de formation immédiatement, mais on va dire chaque chose à son temps. Nous, nous sommes des hôteliers et on va faire bien notre métier, construire des hôtels, les gérer. Mais on compte aussi sur les Etats pour créer des structures de formations adéquates comme mentionnées auparavant.
Il existe des centres de formation privés, le gouvernement doit avoir un regard sur le contenu de leur programme, ils doivent s’assurer que le contenu de leur formation répond aux exigences actuelles. Pour cela, il faut qu’il y ait plus d’échange entre les professionnels du secteur et les gouvernements, il faudrait aussi apprendre des pays qui ont fait du tourisme un réel pilier de leur économie. Nous n’avons pas a réinventé la roue, des modèles peuvent être réappliqué avec un petit ajustement.
Ce sont vos exigences aussi…
Bien évidemment qu’on a des exigences. On a une marque, une identité à mettre en avant, à pérenniser dans le temps. Il faut que le client, quand il rentre dans un hôtel NOOM, qu’il dise je le sais, je n’ai pas besoin qu’on me le dise. Et ça se travaille au corps, dans la senteur, dans plein d’autres aspects encore. Vous savez, s’ils arrivent déjà à faire la formation de base, nous on saura les former sur le terrain à notre image.
S’il vous était demandé de dire un mot à l’endroit des potentiels clients, le NOOM à Niamey et à l’ensemble du groupe Mangalis
Je dirais ce que les clients disent : « c’est beau, on s’y sent bien, on y mange bien, on y dort bien, le personnel est très sympa, on est décontracté, dans un cadre chic, lumineux on se sent en sécurité…». Voilà, on y est dans cette Afrique nouvelle.
Entretien à Niamey avec Richard KENMOGNE
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